Pourquoi ? Parce que c’est du gagnat-gagnant parbleu !

Pas de gnangnan dans la Grande Bleue 🌊
Ni besoin de potasser la Théorie des Jeux, pour comprendre 🎲

Cela tient en deux mots : apports réciproques.
En biologie, on parle de symbiose mutualiste.

Ne partez pas ! C’est simple et beau comme un docu animalier d’Attenborough. Vous savez, ceux de la BBC avec sa voix off, une merveille 🤩.

Comme son nom l’indique, la symbiose mutualiste est un boni pour chacune des parties :
🪸 Le corail tropical et ses zooxanthelles, qui lui procurent sa nourriture.
🌸 Les plantes nectarifères entomogames associées aux insectes nectarivores qui les pollinisent. En bref avec les sous-titres : les abeilles qui butinent les plantes à nectar 🐝

Mutualisation, coopération. J’ai toujours préféré les conciliations aux oppositions de principe.

Rapprocher des sujets, des modes de pensées, des méthodes, qui paraissent en opposition pour les faire concorder, est ma marotte.  Et ça tombe pile-poil car c’est justement une des définitions du mot « conciliation ».

J’envisage la Nature et la Culture, les Lettres et les Sciences, le Passé et l’Avenir, sous l’angle d’un enrichissement bilatéral. Porteur de complétude dans les interactions que nous avons les uns avec les autres. Et propice à des combinaisons ô combien additives.

Raison pour laquelle je travaille principalement avec -et pour- des ingénieurs, et des experts scientifiques ou techniques. Parce que nos spectres et nos champs se complètent en fait. En symbiose.

Et parce que les apports réciproques seront toujours mieux que les rapports équivoques.
Sur ce, je vous laisse avec celle-là 😉